Vue d'exposition, MILLES LITRES, Frédérique Nalbandian
Frédérique Nalbandian, Précipité 08-12-12, Marseille, 2013
bac issu de l’installation évolutive «Adduction», Hall des Archives Départementales, Marseille
diamètre 155 cm
Frédérique Nalbandian, Précipité 08-12-12, Marseille, 2013
bac issu de l’installation évolutive «Adduction», Hall des Archives Départementales, Marseille
diamètre 155 cm
Frédérique Nalbandian, Central 08-12-12, Marseille , 2013
savon issu de l’installation évolutive «Adduction», Hall des Archives Départementales, Marseille
30 x 34 cm
Frédérique Nalbandian, Sans titre, 2015
rose rouge fraîche plâtrée, acrylique dorée 55 x 9 cm
Frédérique Nalbandian, Crâne, 2010
Savon, peinture à l’huile 14 x 10 x 8 cm
Frédérique Nalbandian, Trouble, Bruay-la-Buissière 26-09-2011, Nice 16-10-2015, 2015 Seau en verre issu du work in progress Repos , savon, eau 1500 euros unité
28 x 25 cm
Frédérique Nalbandian, Trouble, Bruay-la-Buissière 26-09-2011, Nice 16-10-2015, 2015 Seau en verre issu du work in progress Repos , savon, eau 1500 euros unité
28 x 25 cm
Frédérique Nalbandian, Eaux minérales 31-09-2015,
Cerisy, 2015
Moulages savons issus du work in progress «Eaux minérales», Château de Cerisy-la-salle 200 euros pièce
Dimensions variables
Frédérique Nalbandian, Coaraze 05-11-11, 2012
Bâche, métal, sandow, œillets.
issu du work in progress in situ “Pierre” à Coaraze Diamètre 220 cm
Vue d'exposition, VARIATIONS, Charlotte Pringuey-Cessac
VARIATIONS, 2015
Empreintes,
Encre taille douce sur papier Hahnemühle 125 x 125 cm
ADAGIO, 2015 Chêne carbonisé 18 x 13 x 3,5 cm
COMPOSITION VI, 2015 Empreintes
Encre taille douce sur feutre 18,5 x 18,5 cm
Vue d'exposition, VARIATIONS, Charlotte Pringuey-Cessac
Charlotte Pringuey-Cessac, SANS TITRE, 2015 Platane découpé Charbon de bois 84 x 60 x 30 cm
EMPREINTE III, 2015
Empreinte
Encre taille douce sur papier Hahnemühle 80 x 62,5 cm
Charlotte Pringuey-Cessac, VARIATIONS (édition), 2015
5 variations de 5 protocoles
monotypes (pièce unique chacune)
Tampons encreurs
Tirage : 25 exemplaires numérotés chacun de I à V 124,5 x 25 cm
Charlotte Pringuey-Cessac, VARIATIONS (édition), 2015
5 variations de 5 protocoles
monotypes (pièce unique chacune)
Tampons encreurs
Tirage : 25 exemplaires numérotés chacun de I à V 124,5 x 25 cm
Charlotte Pringuey-Cessac, VARIATIONS (édition), 2015
5 variations de 5 protocoles
monotypes (pièce unique chacune)
Tampons encreurs
Tirage : 25 exemplaires numérotés chacun de I à V 124,5 x 25 cm
Frédérique Nalbandian travaille à petite et grande échelle la sculpture, l’installation évolutive, la réalisation in situ, le dessin. Elle manipule deux substances : le savon et le plâtre, mises en scène par des procédés directs et expérimentaux, proche de l’improvisation. Elles forment avec l’eau les fondements de sa pratique.
« Mille litres » est une sculpture évolutive, destinée à se transformer au fil des expositions sur plusieurs années.
Elle est composée d’un moulage en savon, d’une citerne d’eau de 1000 litres et d’un bac de rétention métallique. Le volume est travaillé/modelé par l’érosion libre et naturelle des eaux, plus spécifiquement dans sa partie inférieure par l’intermédiaire d’orifices creusés prévus à cet effet. Des sillons de plus en plus profonds et autres transformations se formeront pendant l’exposition créant un nouveau corps.
Ce work in progress devient un espace expérimental au sein duquel la matière est active.
Après une première présentation en 2013 à la Foire de Paris, puis en juin dernier dans le Parc de la Maison Blanche à Marseille, « Mille litres » poursuit aujourd’hui son itinéraire spatio-temporel et sa métamorphose à la Galerie Eva Vautier.
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Variations, Charlotte Pringuey-Cessac
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Je frotte, j’aplatis, j’explose, j’écrase, j’enfonce… . Bruissements d’actions plastiques premières dont naissent des visions sophistiquées, intrigantes qui opposent des principes formels qui ont longtemps servis à distinguer les Abstractions entre elles et dont l’artiste nous prouve la nature primitive : le lyrique et le géométrique, l’expression et le concept que sont-ils d’autre que le reflet de la facture d’un monde où s’oppose toujours l’organique et le cristallin, la faune sous-marine et droit bambou ? En réintroduisant des motifs naturels et utilisant des matériaux pauvres, l’artiste nous rappelle qu’au cœur des abstractions, c’est le cœur du monde qu’on entend.
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